jeudi 11 juin 2009
vendredi 15 mai 2009
Sardaigne... on arrive !
jeudi 19 mars 2009
La Sardaigne se profile à l'horizon...
La date approche ! Fin mai, début juin je retrouve Christophe et Denis, mes amis Gs'istes pour un trip destination la Sardaigne, orienté essentiellement off-road. Cette destination a été retenue, car la Sardaigne, est non seulement une île préservée d'une beauté exceptionnelle, mais aussi et surtout, selon mes informations, encore un véritable paradis pour les enduristes ("respectueux de l'environnement"). Sur cette île peuplée plutôt de bergers que de pêcheurs où, d'avril à octobre, on peut goûter aux joies du tourisme balnéaire, nous partirons pour notre part, à la découverte de son extraordinaire patrimoine naturel dans les régions de la Gallura, la Barbagia ou encore de l'Ogliastra. Les plages de Sardaigne comptent parmi les plus belles de la Méditerranée, et les plus calmes aussi, grâce à la faible présence humaine sur ses 1 850 km de côtes. Ses côtes sont cristallines, idéales pour une petite pause, voir même une petite baignade déjà envisageable fin mai, début juin. C'est surtout à la rencontre d'une nature intacte dont peu de ses voisines de la grande bleue peuvent encore se vanter qui nous irons. Si la Sardaigne est bien moins boisée que la Corse, ses paysages sont tout de même moins secs qu'en Sicile ou en Crète. Le cœur de la Sardaigne est montagneux, à cause de l'érosion qui a modelé son relief en créant des gorges, des falaises calcaires et des vallées, mais peu de plaines et de hauts plateaux. La couleur dominante est le bleu ponctué de rouge et de marron ; un gigantesque amas rocheux où les sommets granitiques et le maquis semblent posés directement sur la mer. Et, à l'intérieur, d'énormes forêts de chênes verts séculaires et de lentisques, des collines couvertes d'oliviers... Plus haut encore, la puissance du vent fait plier les troncs des chênes-lièges, les contraignant à une éternelle révérence. Côté culture, l'île recèle des ruines archéologiques comme les nuraghes (habitations primitives), des tombes des géants, des églises romanes et affiche une longue tradition de fêtes religieuses et païennes. Ajoutez à ceci une petite hôtellerie familiale et une gastronomie composée de saveurs locales et authentiques...On est loin de l'image de destination confidentielle réservée à la jet-set. Aussi, nous ne nous attarderons certainement pas sur la Costa Smeralda et ses clones balnéaires (Villasimius), et nous reviendrons sans aucun doute conquis par les charmes de cette île exceptionnelle...
Si vous avez des tuyaux (hébergements, endroits à manquer sous aucun pretexte, itinéraire off-road à emprunter impérativement, suggestions diverses,...) n'hésitez pas à vous manifester !
Sous peu, de plus amples informations sur ce voyage...
samedi 14 mars 2009
Voyage au Mali...
MALI
Cerokoba (vieux baobab)
1200 km - 6 jours moto
Départ de Bakamo
Un songe m'envahit à la veille du départ de ce séjour
en terre Africaine, les questions se bousculent, la nuit sera courte,
pressé de prendre les pistes en latérite qui sillonnent la brousse
où les rencontres les plus insolites nous attendent.
Un véritable livre ouvert devant nous dont les pages se tournent
à chaque passage de village en pays Mandingue.
La population est pleine de joie et d'allegresse à notre vue.
Au bout d'un sentier, le vieux baobab veille sur le village de cases
de Selefougou. Les enfants nous prennent la main pour nous présenter
au chef du village, leurs chants et leurs rires nous ouvrent la voie...
Plus loin nous attend la traversée du fleuve Niger à bord d'une pirogue
sur laquelle sont embarquées les motos. Soudain au beau milieu du trajet
une tête, un souffle!!.. Un hippopotame reprend sa respiration,
tandis que je coupe la mienne!!
Magique Afrique....
en terre Africaine, les questions se bousculent, la nuit sera courte,
pressé de prendre les pistes en latérite qui sillonnent la brousse
où les rencontres les plus insolites nous attendent.
Un véritable livre ouvert devant nous dont les pages se tournent
à chaque passage de village en pays Mandingue.
La population est pleine de joie et d'allegresse à notre vue.
Au bout d'un sentier, le vieux baobab veille sur le village de cases
de Selefougou. Les enfants nous prennent la main pour nous présenter
au chef du village, leurs chants et leurs rires nous ouvrent la voie...
Plus loin nous attend la traversée du fleuve Niger à bord d'une pirogue
sur laquelle sont embarquées les motos. Soudain au beau milieu du trajet
une tête, un souffle!!.. Un hippopotame reprend sa respiration,
tandis que je coupe la mienne!!
Magique Afrique....
PASCAL 06.19.61.65.27
Pour plus d'infos sur ce voyage et les autres destinations proposées par Pascal, veuillez cliquer sur le lien ci dessous
http://randoval.free.fr/
dimanche 15 février 2009
Joe Bar Team "by Chlorophylle"
lundi 26 janvier 2009
Projet de restauration XT en TT à partir d'un achat de réservoir ?
En 2001, après quelques années sans moto, je me remets à la recherche d'une XT 500, une de mes premières motos. Dans tous les cas, la moto qui m'a marqué par son caractère hors normes, avec son couple phénoménal, la sensation du coup de pied au c.. qu'elle procure, son poum poum inimitable et son coté rugueux qu'aucun autre gromono du pays du soleil levant n'a jamais pu (ou voulu) avoir... Avec beaucoup de chance, je fini par en trouver une en 2002, en pas trop mauvais état, et me lance desuite avec l'aide de mon ami Christian, dans une totale restauration de celle-ci. Fin 2002, elle est comme neuve et dort depuis au garage sous une douce couverture molletonnée et je ne la sors qu'occasionnellement pour faire un petit tour dans le quartier. Regrettable ? oui et non... j'ai plaisir à la posseder, mais j'y ai consacré "trop de temps" pour prendre le risque de l'abimer sur des pistes défoncées.
Et puis pour les trajets plus conséquents, j'ai ma GS 1200, toujours prête à sortir du garage... Les dernières virées en XT ont d'ailleurs été assez pénibles à cause d'un embrayage mort depuis peu. (pour ce muscler les doigts, rien de tel..) Aussi je me suis résolu de le réparer ce printemps..., donc commande chez Kedo des disques (lisses et garnis) et maintenant il n'y a plus qu'à...
Depuis longtemps également , j'ai toujours des craintes pour mon réservoir en alu flambant neuf. Il est rare d'en voir encore dans cet état sur les routes. Aussi, en ce début 2009, je me suis mis à la chasse d'un second réservoir d'occas, dans le cas où..et puis comme la côte de l'occasion des pièces détachées flambe, je me suis dit, faut pas trop trainer...
Pas facile dans tous les cas d'en trouver un en bon état...Je parle même pas de la peinture ou du vernis, rarement intacts, mais surtout pas facile de dénicher un réservoir alu sans bosses (ou alors à des prix défiant le bon sens.. (pour un restauré, compter plus de 400,- € en général !!!)
Finalement, c'est avec un peu de chance que j'ai pu faire récemment l'acquisition sur E bay Austria (si si!!vous avez bien lu) d'un réservoir sans bosses à un prix plus que raisonnable...(les amateurs devaient être au ski...) La peinture est certes à reprendre, mais autrement il semble impeccable.
Voilà, je l'attends à présent avec impatience !
Ma première idée, fut de bien l'emballerdans un carton et de le ressortir le jour où..puis une nouvelle lubie m'a traversée la tête...pourquoi ne pas se lancer dans la restauration d'une seconde XT ?
Au cours de mes recherches sur internet, je suis tombé sur une page concernant la version américaine (version cross) de la XT, à savoir la TT. Cette dernière ne fut jamais homologuée pour la France. hélas...) Mon idée est donc de restaurer et transformer une XT (faut encore la trouver...) pour en faire une sorte de réplique de la TT, tout en veillant à maintenir les éléments nécessaires pour son homologuation en France en tant qu'XT.... Une moto certes moins soignée que la première (un tout petit peu moins...), mais legerement améliorée (debattement, moteur, port Supertrapp...) et qui pourra me servir pour des petites virées dans les Vosges ou dans le vignoble...Une nouvelle idée, que je ne sais pas encore à ce jour si je la mennerai à bout... Pour le moment, les premiers contacts ont été pris sur un site canadien pour me procurer des stickers conformes aux originaux, sur un site allemand (Kedo) pour voir si les gardes-boues, caches lateraux sont encore disponibles aux couleurs d'époque etc... et me voilà parti peut-être pour une nouvelle restauration ... seul le temps nous le dira. A moins que, d'ici demain, une nouvelle lubie me traverse la tête...
Le projet 2009/2010
Toro Orange -TT 500 D 1977
ou alors :
Yellow Competition - TT 500 E 1978
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